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Crise économique et "tweet" au menu de l'interview télévisée du président le 14 juillet

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Crise économique et "tweet" au menu de l'interview télévisée du président le 14 juillet Empty Crise économique et "tweet" au menu de l'interview télévisée du président le 14 juillet

Message par mdrstarthomas68 Jeu 12 Juil - 18:31

Fidèle à une promesse de campagne, le chef de l'Etat renoue, en se prêtant à cette interview, avec une tradition institutionnalisée par François Mitterrand, qu'avait abandonnée Nicolas Sarkozy. Son prédécesseur, soucieux de rompre avec les années Chirac jugeait l'exercice "obligé" et "convenu".

Le nouveau président a lui l'ambition, comme il l'a dit durant sa campagne, de redonner du souffle à ce grand moment télévisuel. Il s'agit, a-t-il dit de "délivrer un message à la nation, à travers un discours sur le sens à donner à la direction du pays".

Imprimant sa marque, il a choisi de répondre aux questions de Laurent Delahousse (France 2) et Claire Chazal (TFI) non pas depuis l'Elysée, mais à l'Hôtel de la Marine, place de de la Concorde, point d'aboutissement du défilé militaire.

Durant au moins une demi-heure, le président de la République passera en revue les deux premiers mois d'un quinquennat entamé sous le signe de la crise de l'euro et du chômage en hausse continue.

A l'issue d'un véritable marathon diplomatique, il devrait revenir sur les grandes orientations qu'il a défendues sur la scène internationale plaçant la croissance et la régulation des marchés au coeur des scénarios de sortie de crise.

Le retrait des troupes françaises d'Afghanistan, la Syrie, devraient aussi être au coeur de cette interview, après le défilé des forces armées.

Mais son intervention devrait surtout marquer le retour du chef de l'Etat sur la scène intérieure après cette longue séquence internationale imposée par le calendrier.

Quelques jours après la grande conférence sociale, où il a prôné "compromis" et "dialogue social" pour sortir de la crise et du chômage, François Hollande affronte son premier vrai coup dur : l'annonce jeudi de plus de 8.000 licenciements par le groupe PSA Peugeot Citroën, avec la fermeture de son site d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) en 2014.

Qualifiant de "véritable choc" cette annonce, qui a semé l'émoi dans toute la classe politique, le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a aussitôt demandé à la direction de l'entreprise d'engager "sans délai" une "concertation" avec pour objectif "le maintien d'une activité industrielle sur tous les sites français".

Mais la voie est étroite, s'agissant d'un groupe privé, et les solutions peu évidentes, car comme l'a dit Bertrand Delanoë (PS), pas question "de financer à perte une production".

A cela s'est ajouté jeudi l'annonce de la suppression d'au moins 6.000 emplois dans les travaux publics.

Le chef de l'Etat ne pourra pas non plus échapper à un autre dossier délicat, qui n'en finit pas d'empoisonner le début de son quinquennat : le "tweet" de sa compagne Valérie Trierweiler soutenant le rival dissident et vainqueur de Ségolène Royal aux législatives à La Rochelle.

En s'en prenant à l'ex-compagne de François Hollande, mère de ses quatre enfants, Mme Trierweiler a provoqué un psychodrame politico-sentimental aux conséquences imprévisibles.

Dernier épisode, des propos du fils aîné du président, Thomas Hollande, rapportés dans le Point, accusant Mme Trierweiler d'avoir "fait basculer la vie privée dans la vie publique" et "détruit l'image normale" que son père "avait construite".

"Soit elle est journaliste, soit elle a un cabinet à l'Elysée", a aussi lancé le jeune avocat selon l'hebdomadaire, posant la question embarrassante de la place et du rôle de Mme Treirweiler, qui dispose de plusieurs collaborateurs au palais présidentiel. Même si Thomas Hollande a jugé en partie "déformés" ses propos, son père et président sera sans aucun doute invité à clarifier la situation.
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